Cinzia Campolese est une artiste visuelle italo-canadienne basée à Tiohtià:ke/Montréal. Sa diversité d'œuvres englobe installations, sculptures, web, vidéos et impressions, examinant souvent l'interaction entre la technologie et les phénomènes perceptuels.
En utilisant des formes, des signes, des objets et des représentations spatiales familières mais étrangement distantes, elle cherche à plonger dans des questions plus vastes concernant notre pouvoir d'agir et le rôle de la technologie, dans le but de créer des sites hybrides pour l'évasion et la réflexion.
Après avoir terminé ses études en Italie, elle a passé cinq ans à Paris, travaillant sur des projets de microarchitecture, d'installations et de performances audiovisuelles. Depuis 2016, elle s'est installée à Montréal, où elle a approfondi son approche intermédia. Le travail de Campolese a été exposé dans diverses institutions culturelles, galeries et événements de renom dans le monde, y compris le Goethe Institut, la Biennale d’art numérique à l’Arsenal (Montréal), l’espace B39 (Séoul), la Galerie Adiacenze (Bologne), la Galerie Wood Street (Pittsburgh), la Biennale Chroniques (Marseille), Stereolux (Nantes), Rotondes (Luxembourg), le Centre Wallonie-Bruxelles (Paris), NEW NOW (Essen), Noise Media Art Fair (Istanbul), Art Souterrain et le Centre Phi (Montréal).